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Science des matériaux - 24.10.2022
Science des matériaux - Sciences de la vie - 14.06.2022
Science des matériaux - Chimie - 09.06.2022
Science des matériaux - Innovation - 16.11.2021
Science des matériaux - Physique - 09.12.2020
Science des matériaux
Résultats 1 - 5 de 5.
Les plumes de manchots pourraient receler une solution antigivrage efficace
Une équipe de recherche de l'Université McGill met au point une solution sans produit chimique qui pourrait servir au dégivrage des fils électriques, des turbines éoliennes et même des ailes d'avion En 1998, l'accumulation de glace sur les pylônes et les fils électriques a causé la crise du verglas qui a paralysé l'est du Canada et le nord-est des états-Unis et plongé une partie de la population dans la noirceur et le froid pendant des jours, voire des semaines.
Une équipe de recherche de l'Université McGill met au point une solution sans produit chimique qui pourrait servir au dégivrage des fils électriques, des turbines éoliennes et même des ailes d'avion En 1998, l'accumulation de glace sur les pylônes et les fils électriques a causé la crise du verglas qui a paralysé l'est du Canada et le nord-est des états-Unis et plongé une partie de la population dans la noirceur et le froid pendant des jours, voire des semaines.
Une colle naturelle issue des baies du gui s’annonce prometteuse
Une seule baie de gui peut produire jusqu'à deux mètres d'un filament gluant appelé viscine; une substance qui permet aux graines de cette plante parasite d'adhérer aux plantes hôtes et de les infester. Depuis des temps immémoriaux, on s'intéresse aux baies du gui pour traiter divers maux, de l'infertilité à l'épilepsie, en passant par le cancer.
Une seule baie de gui peut produire jusqu'à deux mètres d'un filament gluant appelé viscine; une substance qui permet aux graines de cette plante parasite d'adhérer aux plantes hôtes et de les infester. Depuis des temps immémoriaux, on s'intéresse aux baies du gui pour traiter divers maux, de l'infertilité à l'épilepsie, en passant par le cancer.
Des chercheurs envisagent des biocapteurs dérivés du bois et autoalimentés pour les dispositifs sans fil.
Selon des chercheurs de l'Université de Toronto et de l'Université de Waterloo, des matériaux dérivés du bois peuvent être utilisés pour récolter de l'énergie électrique à partir de mouvements quotidiens tels que la marche. Dans une nouvelle étude récemment publiée dans Nano Energy , l'équipe a démontré l'utilisation de nanofibrilles lignocellulosiques - dérivées de l'écorce des arbres - dans un prototype de dispositif auto-alimenté capable d'envoyer un signal sans fil à un smartphone via Bluetooth.
Selon des chercheurs de l'Université de Toronto et de l'Université de Waterloo, des matériaux dérivés du bois peuvent être utilisés pour récolter de l'énergie électrique à partir de mouvements quotidiens tels que la marche. Dans une nouvelle étude récemment publiée dans Nano Energy , l'équipe a démontré l'utilisation de nanofibrilles lignocellulosiques - dérivées de l'écorce des arbres - dans un prototype de dispositif auto-alimenté capable d'envoyer un signal sans fil à un smartphone via Bluetooth.
Un verre incassable inspiré des coquillages
Des scientifiques de l'Université McGill ont élaboré un verre très tenace et résistant inspiré de la couche interne de la coquille des mollusques. Ce nouveau matériau a la résilience du plastique; il ne se briserait donc pas lors d'un impact et il pourrait améliorer les écrans de téléphone et servir à d'autres fins.
Des scientifiques de l'Université McGill ont élaboré un verre très tenace et résistant inspiré de la couche interne de la coquille des mollusques. Ce nouveau matériau a la résilience du plastique; il ne se briserait donc pas lors d'un impact et il pourrait améliorer les écrans de téléphone et servir à d'autres fins.
Brillante découverte pour les biomatériaux avancés
Des chercheurs de l'Université McGill pensent avoir mis au jour une manière d'améliorer la synthèse de biomatériaux qui pourraient jouer un rôle crucial dans l'administration de médicaments, la régénération tissulaire, ainsi qu'en nano-optique et en nanoélectronique. Dirigée par Hanadi Sleiman , professeure titulaire de chimie à McGill et titulaire de la Chaire de recherche du Canada de niveau 1 en nanoscience de l'ADN, l'équipe a conçu une méthode inspirée par la façon dont les matériaux défectueux se régénèrent et deviennent plus résistants dans la nature.
Des chercheurs de l'Université McGill pensent avoir mis au jour une manière d'améliorer la synthèse de biomatériaux qui pourraient jouer un rôle crucial dans l'administration de médicaments, la régénération tissulaire, ainsi qu'en nano-optique et en nanoélectronique. Dirigée par Hanadi Sleiman , professeure titulaire de chimie à McGill et titulaire de la Chaire de recherche du Canada de niveau 1 en nanoscience de l'ADN, l'équipe a conçu une méthode inspirée par la façon dont les matériaux défectueux se régénèrent et deviennent plus résistants dans la nature.