La violence policière aux États-Unis est le résultat d’une longue histoire de lutte contre les « ennemis internes »

La violence policière aux États-Unis est le résultat d’une longue histoire
La violence policière aux États-Unis est le résultat d’une longue histoire de lutte contre les « ennemis internes »
La violence policière aux États-Unis est le résultat d'une longue histoire de lutte contre les « ennemis internes » - De nombreux détails entourant le récent décès de Tyre Nichols, battu par la police à Memphis au Tennessee, sont encore inconnus ou contestés. Pourtant, à bien des égards, tout ce qu'il faut savoir, c'est comment la rencontre a commencé : M. Nichols a exprimé sa confusion quant à la raison pour laquelle il avait été arrêté, et un officier a répondu qu'il allait l'attaquer. En abordant M. Nichols comme quelqu'un d'hostile - un ennemi sur un champ de bataille, plutôt qu'un membre du public - la police dans ce cas a apporté près de 400 ans d'histoire américaine à ce qui était prétendument un contrôle routier de routine, écrit le professeur Jason Opal du Département d'histoire et d'études classiques. Dans un article récent pour The Conversation Canada, celui-ci décrit comment les effets de l'esclavage et des lois discriminatoires perdurent. Il est important de comprendre l'attrait profond et large de cette approche dans un pays apparemment craintif où il y a plus d'armes à feu que de personnes et où les tueries de masse sont choquantes, mais routinières », dit le Pr Opal. Il est tout aussi important de retracer l'approche elle-même à des moments historiques spécifiques, afin que des alternatives claires puissent devenir imaginables - peut-être même possibles. » jason.opal [at] mcgill.ca
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