René Lévesque, critique de cinéma

Dans ce livre, René Lévesque se révèle un passionné de cinéma et un véritable co
Dans ce livre, René Lévesque se révèle un passionné de cinéma et un véritable connaisseur du septième art, aux goûts éclectiques et à l’érudition impressionnante. Franc, parfois acerbe, quelquefois irrévérencieux, le jeune critique fait preuve d’une intelligence vive, d’une vaste culture et d’une largeur d’esprit.
Dans ce livre, René Lévesque se révèle un passionné de cinéma et un véritable connaisseur du septième art, aux goûts éclectiques et à l'érudition impressionnante. Franc, parfois acerbe, quelquefois irrévérencieux, le jeune critique fait preuve d'une intelligence vive, d'une vaste culture et d'une largeur d'esprit. Entre 1947 et 1949, le jeune journaliste du Service international de Radio-Canada a écrit 88 chroniques sur les films de son époque «Je tiens à remercier particulièrement mon ami Sébastien Hudon, commissaire d'expositions et historien de la photo, qui m'a envoyé en janvier 2021 une chronique sur Orson Welles en me demandant si son auteur était bien le René Lévesque. Sans lui, ce livre n'aurait pas existé. Le livre dont parle Jean-Pierre Sirois-Trahan, professeur et directeur du programme de cinéma au Département de littérature, théâtre et cinéma de l'Université Laval, s'intitule Lumières vives: chroniques de cinéma 1947-1949/René Lévesque . Édité chez Boréal, cet ouvrage de 368 pages a été lancé le 1 novembre. Après une présentation d'une quinzaine de pages, le professeur Sirois-Trahan donne toute la place aux chroniques, accompagnées de nombreuses notes en bas de page, que René Lévesque a publiées entre 25 et 27 ans dans un journal régional, Le Clairon de Saint-Hyacinthe .
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